Le constat majeur est la souffrance éprouvée, le mal-être de l’individu dans son rapport à lui-même, avec autrui et son environnement.
– vous êtes sujet à des angoisses ou des attaques de panique ;
– vous ne vous épanouissez plus dans votre travail ;
– vous êtes malheureux de ne pas supporter votre enfant ;
– des TOCS ou manies empoisonnent votre quotidien car trop répétitifs…
La vie présente devient insupportable car tous ces moments de mal-être sont ressentis comme intolérables.
Toutes ces situations aboutissement à un épuisement familial, professionnel, personnel et vous ne trouvez pas d’issue.
Mais que cherche-t-on réellement ?
L’esprit humain est complexe :
– certains jours, on s’accommodera des maux qui font souffrir car une part de soi préfère préserver ce qui est connu ;
– d’autres jours, on sera tenté de vouloir changer la situation et prendre le risque d’une transformation, donc de l’inconnu.
Et pour avancer ce pas, pour changer quelque chose de sa vie, un sentiment de courage en donne l’élan.
Sonner à la porte d’un thérapeute présuppose cette démarche qui amorce déjà le travail thérapeutique !
Lorsque vous vous installerez dans le fauteuil de mon cabinet, nous serons alors partenaires. Selon le cas, mais le plus souvent, la thérapie commence par la reconnaissance et l’acceptation de la souffrance : on vient d’abord pour déposer sa plainte. Cela peut prendre un certain temps avant d’arriver à l’expression de la source de la douleur qui prend la forme extérieure d’une fatigue, dépression, insomnie, irritabilité, etc.